A PROPOS...
"Je crois en une société où la liberté individuelle est un moteur de progrès, mais où cette liberté s’exerce de manière responsable, au service du bien commun. Chacun doit pouvoir se réaliser, entreprendre et choisir son chemin, tout en reconnaissant que ces libertés s’épanouissent pleinement dans une communauté solidaire.
La solidarité est essentielle : elle garantit que personne ne soit laissé de côté et que chacun puisse contribuer à la société grâce à une véritable égalité des chances. Mais cette solidarité ne doit pas être imposée ou devenir un frein à l’initiative et il est essentielle de ouvoir limiter et corriger les inévitables églités qu'elle génére. Elle doit s’inscrire dans une souveraineté forte, où nous avons la capacité de définir nos priorités, de protéger nos ressources et de répondre à nos défis en accord avec nos réalités locales et territoriales.
Je défends un modèle dans lequel la souveraineté préserve notre autonomie collective, nous libère des dépendances excessives et nous permet de créer nos propres solutions. Libéralisme, solidarité et souveraineté ne s’opposent pas ; ils se complètent et se renforcent pour bâtir une société libre, juste et résiliente.
Chaque jour, je constate que les idéologies sont vidées de leur substance par des élites qui se les accaparent. Ces figures, issues des mêmes cercles, transforment les idées en slogans creux, oubliant qu’elles devraient servir le bien commun. Ce spectacle politique, déconnecté des réalités, renforce l’écart entre les citoyens et ceux qui prétendent les représenter.
La politique n'a jamais appartenu aux élites puisqu'elle est la science des affaires publiques. En tant que citoyens, nous avons le droit d’avoir des opinions, de proposer des idées et d’agir.
Face à la carence des hommes politiques de carrière, la chose publique ne peut plus être un jeu de pouvoir qui leur est réservé ; elle doit rester un espace ouvert, où chacun trouve sa place et contribue à construire un avenir plus juste et solidaire.
Je deviens un citoyen engagé parce que je ne veux plus être spectateur de l'inaction et du manque de courage et de sincérité de ceux qui en font une carrière ou voit en cela un job temporaire et qui ne nourrissent plus aucune passion pour notre pays."

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